Seul le voyage, le soleil, l’eau froide, l’emmerdement de la pluie, la vie enfin, me permet d’exister, je suis heureux, j’ai faim, j’ai soif, je vois, je sens, je possède… seul moyen d’échapper à la ville et à cet “effroyable moi sans issue”.
Lettre à Henriette, 1936